dimanche 1 juillet 2012

A Paris - Les Trois Arts (8 mars 2012)

La jolie affiche de la Journée de la Femme aux Trois Arts à Paris


Quelques retours et commentaires sur No missié !

Voici, pêle-mêle, quelques avis recueillis durant cette année scolaire sur notre spectacle ; ils viennent de notre livre d'or, de courriers que nous avons reçus, ou même d'avis laissés par des internautes sur d'autres sites internets.



Mai 2011 - Nantes

J’ai assisté, mardi 10 mai, à un superbe spectacle à la maison de quartier. Le thème était
sur la commémoration de l’esclavage. D’ailleurs beaucoup de
manifestations se déroulent à Nantes à ce sujet. Il y avait sur scène deux conteuses et un musicien. Et à travers la vie de quatre femmes qui ont réellement vécu et subi l’esclavage (parmi lesquelles Harriet Tubman ou Rosa Park), les deux conteuses ont raconté ce que ces femmes ont fait pour sortir leur peuple de cette horrible vie qu’est l’esclavage. Et le musicien jouait différents airs utilisant plusieurs instruments tels que flutes, guitares rappelant le banjo. En les écoutant, j’étais toute bouleversée, émue et j’en avais la chair de poule. Dire que des êtres humains ont vécu de telles atrocités faites par d’autres humains ! Que d’émotion ce soir là !
Après le spectacle, une discussion s’est établie entre les acteurs et le public. Discussion fort intéressante d’ailleurs. Et pour clôturer cette magnifique soirée nous avons dégusté un succulent repas africain préparé avec amour et soin par deux sénégalaises.

Signé « Frenchy »
Trouvé sur le Blog « Couleur locale »

17 NOVEMBRE 2011  – EVRECY (Normandie)

Encore une fois, un grand merci à vous trois.  Que c’est riche.
Toute mon affectueuse amitié.
Je suis heureuse de vous avoir rencontrés.
Annie Poder – Terre des Hommes

Spectacle merveilleux.  Bonne route
Nadine


28 DÉCEMBRE  2011 – LE THERANGA (Paris)
Bien la soirée. Il faut continuer.
Nathalie

Bravo !
Merci de nous avoir fait vivre ce moment.
Araba

L’émotion +++
Que dire de plus
Je n’ai plus de mots
Merci
Caroline Basciani – conteuse

Quel bonheur vous m’avez fait vivre dans notre Théranga qui restera gravé sur notre chemin.
La « voix » est libre.
Mike Sylla

DECEMBRE 2011 – Théâtre Popul'air (Paris)
Conte tiré d'histoires vraies ...
   Petit moment agréable ... qui sort de l'ordinaire (un conte c'est différent). ambiance conviviale. bonne continuation mesdames ...
écrit le 30/12/2011 sur BilletReduc.com

-Très bon spectacle - 10/10
   Les acteurs de la pièce vous font oublier ça.pièce très bien joué. un rappel des femmes noirs qui ont marqués le combat du peuple noirs. bravo aux 3 acteurs.
écrit le 30/12/2011 sur BilletReduc.com

Retour dans l'histoire
   Des conteurs auxquels vous restés suspendus aux levres . magnifique allez-y vite.
écrit le 29/12/2011 sur BilletReduc.com

Décembre 2011 - Malakoff (Hauts-de-Seine)
Merci à vous pour ce beau travail.

Karima CHALAL-KESSOUM
Service culturel de la Ville de Malakoff

29 JANVIER 2012 – LA VIEILLE GRILLE (Paris)

Un grand merci pour ces instants de vrai bonheur. Bravo !
Louis Martineau

Bravo et vive la Liberté.  Très, très bons moments. Bravo.
Vania  Adrien Sens

Merci pour ce spectacle fort et émouvant à la fois.
Corinne

Avec toutes mes félicitations pour un spectacle à la hauteur des artistes.
Josiane Rocco

Encore une fois, votre prestation était remarquable : une excellente narration et une incarnation réaliste des interprètes.
A cela j’al-joute une présence scénique hors pair.
Des faits historiques relatés avec beaucoup d’honnêteté.
Jean Marc
 
MAI 2012 - Ecole Paul Langevin – Trappes (Yvelines)
Bravo pour ce superbe spectacle, fort et plein d’émotions.
Merci aux conteuses et au musicien ; les élèves ont été captivés.
Grâce à votre spectacle, vous permettez aux jeunes générations de se souvenir.
Une belle dose d’humanité nécessaire à notre époque.
Merci pour cette belle leçon d’histoire !
 
MAI 2012 - Médiathèque Aimé Césaire – Les Verrières le Buisson (Yvelines)
Merci pour ces contes que vous nous avez fait vivre !

Un voyage dans le temps et le cœurs d’êtres libres, de quatre femmes de cœur qui, par leur engagement font vaciller la certitude des gens qui se trompaient de colère.
Des graines d’histoires qui, je l’espère, germeront pour apporter un peu plus de tolérance et de partage dans notre monde.
Merci pour ce voyage musical et conté
Et
A une prochaine fois avec grand plaisir.

Grégoire – responsable Médiathèque Aimé Césaire – Les Verrières le Buisson –

Une évocation des moments où des personnalités fortes qui ont marqué de leur empreinte cette marche irrésistible vers la pleine citoyenneté des anciens esclaves et de leurs descendants.
Merci pour la force de vos contes.

Messac Markpangoo – IFA Robert Delorozoy Les Verrières le Buisson – 09 mai 2012


Mai 2012 Saint-Pierre Quiberon (Bretagne)

Spectacle réussi qui m’a fait lever les poils de tout mon corps.
Odile Chollet  « Dilo » artiste peintre – Saint Pierre Quiberon – 09 mai 2012

Grand merci  à nos amis artistes qui nous ont fait vibrer !
Frissons garantis dès le début du spectacle !
Martine  « Tina Mirès » - 09 mai 2012

 Un grand merci en noir et blanc, de toutes les couleurs !
Bises – Diane « Dilo » artiste peintre – Saint Pierre Quiberon – 12 mai 2012
   
Merci, grâce à ce spectacle, j’ai beaucoup appris et envie d’en savoir encore plus en « hommage » à tous ceux qui ont autant souffert.
Maryvonne Timon – Saint Pierre Quiberon 12 mai 2012
   
Magnifique ! 
Quel bel hommage à tous ceux qui ont connu la bêtise humaine.
Geneviève Marchand « maire de StPQ » - 12 mai 2012


Article lu dans le monde

Lecture d'un texte cru sur l'esclavage en CM1-CM2 : un "dérapage" isolé
LE MONDE | 07.03.12

La liberté pédagogique des enseignants peut-elle s'exercer à mauvais escient ? Faire l'objet de "dérapages" ? Oui, répondent des parents de l'école Marcel-Cachin de Morsang-sur-Orge, une petite ville de l'Essonne. Réunis dans un "collectif des parents indignés", ils dénoncent la lecture par un enseignant de CM1-CM2, à des élèves âgés de 9 à 11 ans, d'un livre sur l'esclavage – Betty-Coton, de Corinne Albaut (2005), réédité l'an dernier sous le titre Noir Coton – contenant une description très crue du viol d'une fillette, Badi, par son esclavagiste. "Notre raison d'agir, c'est de nous assurer que nos enfants peuvent aller à l'école en toute sérénité, dans le respect de leur intégrité physique et mentale", ont expliqué ces parents sur Internet, évoquant des "enfants traumatisés" et des "parents choqués".
Leur pétition en ligne, qui avait recueilli un peu plus de 300 signatures entre le 1er mars et le 6 mars, est passée à près de 450 signatures en quelques heures, mardi 6 mars, après la "révélation" de l'affaire par Le Parisien. Une médiatisation que ces parents disent regretter un peu. "La tournure médiatique n'était pas notre but, nous ont-ils expliqué. Notre objectif est le bien-être des enfants. Et surtout, ne plus avoir ce type inapproprié de lecture en classe. Nous ne souhaitons pas faire de polémique sur l'établissement ni sur l'équipe enseignante."

LUC CHATEL ET NICOLAS SARKOZY S'EN EMPARENT
Pourtant, en une demi-journée, le "dérapage" manifeste du professeur de l'école Marcel-Cachin, qui n'a pas souhaité s'exprimer, a pris de l'ampleur au point de devenir "l'affaire Betty-Coton". Peu avant midi, le ministre de l'éducation nationale, Luc Chatel, a fait savoir, dans un communiqué officiel (lire l'article "Luc Chatel saisit l'inspection académique après une lecture qui a choqué dans une école"), qu'il demandait à l'inspection académique de "prendre des mesures disciplinaires nécessaires", précisant "partager totalement l'émotion, le choc et l'indignation de certaines familles". Et soulignant que "l'auteur de l'ouvrage a lui-même indiqué que son livre n'était pas du tout destiné et adapté à des enfants si petits et s'adressait à des adolescents à partir de 13-14 ans, selon leur maturité". Dans la soirée, le président Nicolas Sarkozy, invité de l'émission "Des paroles et des actes", sur France 2, a lui aussi fait référence à "l'affaire" : "Si c'est vrai, les parents ont raison", a-t-il lâché.
Interrogée sur le libre choix des lectures en classe, la Rue de Grenelle rappelle la mise à disposition des professeurs des écoles d'une liste d'ouvrages constituée depuis 2002 – 250 titres pour le cycle 2, et 300 pour le cycle 3 –, révisée en 2007. Au collège, outre la liste des ouvrages recommandés dans les programmes – depuis 2008 – recentrée sur les "classiques", une liste a été initiée à la rentrée 2011. "La limite de la liberté pédagogique, c'est la responsabilité de l'enseignant", lâche-t-on dans l'entourage de Luc Chatel, non sans préciser que "les professeurs ont, pour l'immense majorité d'entre eux, une grande conscience professionnelle".
"UN CHOIX MALHEUREUX"
Même son de cloche à l'inspection académique de l'Essonne. "J'ai été, comme la majorité des personnes qui ont eu connaissance de ces faits, choqué, et j'ai également du mal à comprendre ce qui a pu pousser un tel enseignant à faire un tel choix", confie le directeur académique, Christian Wassenberg. "Le principe de la sanction est acquis. Pour ce qui est de la nature de la sanction, nous nous prononcerons dans la semaine", précise M. Wassenberg, avant de confier ne "pas avoir le souvenir, dans toute sa carrière, d'autres situations de ce type". Et d'ajouter : "Ce n'est pas parce qu'un enseignant a fait un choix malheureux que nous devons réglementer ce que nous considérons comme la liberté pédagogique !"
Un "choix malheureux", c'est également ce que regrette Sébastien Sihr, du syndicat d'enseignants majoritaire dans le premier degré, le Snuipp-FSU. "L'enseignant a, à l'évidence, utilisé des extraits totalement inadaptés à son auditoire. Mais la littérature de jeunesse et les récits restent des supports pertinents pour enseigner les questions dites "vives", comme l'esclavage, le racisme, pas faciles à aborder en classe avec des enfants de cet âge", rappelle M. Sihr. "En général les enseignants sont très attentifs à ce que ces supports ne soient ni choquants ni traumatisants. Et à ma connaissance, il n'y a pas de précédent. C'est incroyable que d'un cas isolé, on fasse une affaire nationale !" Le dérapage à l'école Marcel-Cachin n'est en aucun cas révélateur de ce qui se fait et s'enseigne au quotidien dans les 50 000 écoles de France, conclut Sébastien Sihr.
Au sein de l'école de Morsang-sur-Orge, sous couvert d'anonymat, certains dénoncent une "amplification des faits". "La lecture remonte à janvier, et tout semblait réglé en février, après une réunion avec les parents, au cours de laquelle le choix du livre et des extraits avait été reconnu comme mauvais. Une poignée de parents a relancé la polémique après les vacances de février. Une erreur, cela peut arriver à n'importe qui, même à un professeur…", explique un enseignant, avant d'ajouter : "Des enfants choqués ? Il y en a sans doute eu… mais ils sont plus nombreux à l'être par la présence des journalistes devant l'école !" Parents et enseignants appellent, ensemble, à l'apaisement.
Mattea Battaglia

A Champigny-sur-Marne - Journée professionnelle d'Art en Liberté - 8 Novembre 2011

Petit souvenir de la journée professionnelle d'Art en Liberté. Merci à Simone Biaudet pour l'organisation de cette magnifique journée (et à Anastasia Ortenzio pour la photo !)

Les sculptures sont de Laurence Etienne

Programmateurs, organisateurs d'évènements, vous pouvez contacter Art en Liberté pour trouver des conteurs talentueux (parmi lesquels ceux de No Missié !) :

Simone Biaudet
12 rue Maurice Denis
94500  Champigny sur Marne
Tél. 01 42 83 85 09 ou 06 10 17 89 88
artenliberte@orange.fr
www.artenliberte.over-blog.com

A Paris - Le Moulin A Café (décembre 2011)

Encore une très belle série de photos signée Jacques Mangeon.
















Copyright Jacques Mangeon


Un grand merci à Charlotte du Moulin A Café, un très mignon café associatif situé dans le 14ème arrondissement. A découvrir absolument, c'est un lieu où il se passe pleins de choses !
Visiter le site du Moulin à Café : http://moulin.cafe.free.fr

Aller au Moulin à Café :

9, place de la Garenne
Paris 14e
 métro Pernety
Tél. 01 40 44 87 55